lundi 24 août 2009

Jour 7.

Après quelques kilomètres de route, nous nous arrêtons à Termoli, autre station balnéaire de la région des Marches. Si cette région est magnifique, le bord de mer est quelque peu décevant, d'autant plus que la palge ressemble à énorme complexe de vacance déserté. En plein milieu de saison, les terrains de beach volley, piscine à toboggans et autres bar à la musique tapageuse sont vides. Les prix sont également douteux, puisqu'ils atteignent gentiment la moitié de ceux de Venise au niveau de la nourriture.

Après cette après-midi à griller à moindres frais (nous évitons soigneusement les zones parsemées de parasols et de chaises longues à louer, mais vides), nous reprenons la route encore salés par nos baignades. Direction l'intérieur des terres avec un mot d'ordre: nous perdre. Nous attérissons à Campobasso, sorte de centre urbain qui semble contaminé par une maladie dégéatrice. Les rues semblent incomplètes, des maisons pas terminées sont disposées ici et là, les rues sont irrégulières. Seul le centre possède un côté sympatiqe, du fait qu'il regroupe tout le monde sur la place centrale. Les italiens mettent un point d'honneur à voir et être vus, ainsi qu'à profiter d'être avec le plus de monde possible sans forcément faire quelque chose. C'est une mentalité très villageoise que nous retrouverons aussi dans le Sud...

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